Carnet Web de Bastien Jaillot

France Loisir propose Daydreams, une belle arnaque

Note publiée le .

Ma petite maman s'est gentiment vu proposé une soit-disant offre généralissime "Daydreams" par une opératrice téléphonique appelant pour le compte de France Loisir.

Je publie ici sa lettre de "résiliation" à cette offre.

Madame, Monsieur

Je me suis laissé séduire par un coup de fil convaincant se référant de l’organisme France Loisirs auquel je suis abonnée depuis des années. Ce coup de téléphone m’a fait payer 82,90 euros une proposition de prestation : 6 nuitées dans des hôtels. On me fait payer avant d’avoir vu la vérité : sur le catalogue il y a la liste des hôtels mais aussi l’engagement de prendre le petit-déjeuner et un repas par personne et par jour.

J’ai voulu essayer cet été d’utiliser vos chèques-hôtel et je choisis le Tourist hôtel à Anvers, en Belgique. Et là, je m’aperçois qu’avec Daydreams (soi-disant intéressant), cela me coûterait 90 euros par jour + 41,45 du chèque-hôtel = 311,45 euros pour 3 jours ; or, je peux réserver dans ce même hôtel 3 nuits petits déjeuners compris pour 156 euros. Même en ajoutant 60 euros pour 3 repas pris n’importe où et non pas obligatoirement le soir à l’hôtel, cela ferait 156 + 60 = 216 euros. Cet exemple démontre bien l’entourloupe de votre affaire : 100 euros pour 3 jours. Et encore, je donne l’exemple d’un hôtel dont les repas ne sont pas excessifs !

Par conséquent, je préfère en rester là. Je préfère utiliser sciemment mon argent plutôt que d’engraisser Daydreams et France loisirs.

D’ailleurs, je vais résilier mon abonnement car cet organisme m’a déçue.

Je vous renvoie votre coffret avec le catalogue un peu abîmé car j’avais essayé de l’exploiter.

Je compte sur vous pour me rembourser les 82,90 euros versés.

Vous pouvez compter sur moi pour bien raconter le procédé dans mon entourage.

Salutations.

Ca me rappelle la belle merde opération commerciale nommée "La fête bleue" à Marseille que Claire et moi avons eu l'occasion de tester cette année pendant nos vacances. Flemme de raconter à quel point c'était minable...